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Maroc

C’est ainsi que SM Mohammed VI avait pensé, en février 2003, ce qui allait devenir 18 ans plus tard, le plus grand complexe portuaire d’Afrique. Un chantier de règne qui a permis au Maroc de se positionner, en Afrique et en Méditerranée, comme un acteur portuaire et industriel de tout premier plan

Alors que la capitale bahreïnienne, Manama, accueil un Sommet pour la paix économique, des dizaines de milliers de Marocains ont participé à une manifestation rejetant la conférence de Bahreïn et l'accord du siècle pour la Paix au Proche-orient. Ils ont lancé des slogans de soutien au terrorisme palestinien.

Un film de Kamal Hachkar. La Haggadah de Pesah, en tamazight de l'atlas sud-marocain

Si le Maroc et Israël n’entretiennent pas de relations diplomatiques «officielles», une grande partie de la diaspora juive marocaine réside dans l’Etat hébreu et représente un intérêt stratégique et touristique important pour le Royaume. Chaque année, plus de 50.000 Israéliens, en moyenne, visitent le Maroc.

Joseph Tedghi, professeur à l’Institut national des langues et civilisations orientales (France), a expliqué dans un exposé sur la littérature judéo-arabe du Maroc, que les juifs ont développé au Maroc une littérature judéo-arabe qui visait "un public plus populaire", parallèlement à une autre d’expression hébraïque destinée essentiellement aux milieux lettrés.

Selon certaines rumeurs, le roi du Maroc à cette époque voulait épouser la fille du chef de la communauté juive et ce serait en rapport a cela que l'étoile de David apparaît sur ​​les monnaies et les timbres de cette période.

Le Secrétaire Général du Conseil de la communauté israélite du Maroc annonce, en avant-première, des projets inédits visant la préservation de la mémoire collective nationale. 

Le contact social et les transactions économiques entretenus entre juifs et non juifs à travers l’histoire, ont crée une image stéréotypée présentant les juifs comme étant hypocrites, menteurs, lâches, opportunistes, cupides, usuriers, mercantiles, et surtout avares. 

L’œuvre considérable de Haïm Zafrani (1922-2004) constitue une référence centrale à la fois dans notre histoire, dans notre culture, dans notre identité et dans notre mémoire, a affirmé, mercredi à Rabat, M. André Azoulay, membre de l’Académie du Royaume du Maroc.

"Je suis très attaché à mon pays, le Maroc". Cette récente déclaration est de Richard Attias, répondant à la question "Vous vous sentez patriote?", sur le plateau de l'émission Grandes questions, diffusée sur France 5, et animée par Franz-Olivier Giesbert.

Une balade à travers différentes strates de la ville, qui communiquent peu, témoigne des bouleversements fulgurants liés à la mondialisation.

En jetant son dévolu sur un tapis, uniquement ébloui par les couleurs et les matières, on ne s'imagine pas à quel point l'on devient le dépositaire d'un fragment de l'un des symboles les plus forts de l'Orient.

Le Maroc est une terre connue pour sa tradition d'accueil. Antoine a décidé d'en tester la véracité. Caméra à l'épaule, il est parti au Maroc là où les habitants, réellement accueillants, l'invitent sans détour à entrer chez eux.

C’était mon rêve depuis de longues années d’aller sur la tombe de Rav ‘Haïm Pinto, grand-père de mon Rav, Rav David ‘Hanania Pinto

Dans un café d’Arazane, un douar près de Taroudant, dans le sud du Maroc, j’ai abordé deux petits vieux pour savoir s’il y avait des juifs ici, avant. À ma question, le visage de l’un d’eux s’est illuminé

Très rares clips de feu SM le Sultan Mohammed V et du Prince Moulay Hassan

L’initiative, lancée il y a quatre ans par l’association Mimouna, a été portée cette année par la communauté juive de la ville ocre et son président, Jacky Kadoch. “C’est la troisième année que nous organisons un ftour pendant ramadan”, raconte-t-il 

Le 13 mai dernier, les députés islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) ont interrogé le ministre de la Santé, Anas Doukkali, (Parti du progrès et du socialisme) au sujet de la normalisation avec Israël lors de la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des représentants

Je voudrais partager ce que j’ai vécu lors de mon voyage au Maroc la semaine dernière.  J’ai toujours ressenti, dans la manière avec laquelle en parlent mes parents et grands-parents, une certaine nostalgie vis-à-vis du Maroc.

Sur ordre du roi Mohammed VI, « El Mellah » reprend vie pour « préserver la mémoire historique des lieux », renforçant ainsi la petite communauté vieillissante tandis que les relations prospèrent entre Rabat et Jérusalem

Le mois dernier, le roi du Maroc, Mohammed VI, a lancé les travaux de construction du projet qui « sera établi dans une ancienne école située à proximité du Mellah et du cimetière juif de Fès », indiquait le magazine Tel Quel l’été dernier. Le budget pour la construction du musée s’élève à 10 millions de dirhams (924 000 euros).

Un large programme est mis en oeuvre pour réhabiliter et mettre en valeur les sites historiques du judaïsme marocain et ainsi raviver la mémoire millénaire de cette communauté.

Le thème du vivre ensemble au 21e siècle retenu à cette occasion a sans doute bien inspiré Azoulay qui a délivré un message ayant retenu l’attention de toute l’assistance d’ailleurs séduite par le discours du Conseiller du Roi. André Azoulay a en effet mis en exergue la singularité du judaïsme marocain et sa résilience, à travers une histoire de trois mille ans, « nourrie et modelée sur la durée par une proximité et une intimité rarement démenties avec les civilisations berbère et arabo-musulmane »

En septembre 2003, feu Robert Assaraf plaidait pour une actualisation des institutions juives au Maroc. Il affirmait dans une tribune que le «Conseil des Communautés, né du Dahir du 7 mai 1945, est donc définitivement caduc aujourd'hui. Car le Royaume du Maroc est indépendant (1956) et constitutionnel (1962).

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