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Maroc

Dès son intronisation en 1961, Feu SM Hassan II s'était attelé à construire le Maroc moderne d'après l'indépendance et à jeter les fondements d'une économie nationale indépendante, solide et résiliente. 

Hélas depuis quatre ans déjà, le conflit au sein du comité de la communauté casablancaise ne cesse de s’aggraver. L’autorité en reste à un immobilisme commode. Il lui faut un chef de la Communauté juive pour les contacts avec les juifs de l’étranger. Elle l’a. C’est un ancien ministre ; titre intéressant à faire valoir dans ce genre de missions… »

Quand les derniers juifs du Maroc et les musulmans qui les ont connus seront partis, que restera-t-il de ces trois millénaires de vie juive et de partage?

Lors de cette rencontre scientifique et académique de haute facture, un hommage posthume sera rendu aux éminents juristes “Haïm Zafrani” , “Maxime Azoulay” et “Abraham Zagouri” , pour leurs contributions, travaux, études et recherches indéniables au développement et à l’enrichissement du droit hébraïque marocain.

"Dans l’inconscient collectif, judaïté et Israël sont étroitement liés, voire indissociables."

La vidéo, datée du 26 novembre, explique le processus et les étapes suivis pour la production de «l’or blanc du Maroc». Exposant ses bienfaits et sa richesse en nutriments, le document révèle cependant que cette huile est désormais conforme aux standards de la communauté juive orthodoxes.

La Mamounia, qui perd une cinquantaine de millions d’euros par an, devrait être vendu pour 500 à 600 millions d’euros. Beaucoup à Rabat pensent que seul un groupe international est en mesure de mettre au pot de tels fonds et de rétablir l’équilibre financier de cet établissement prestigieux.

"La puissance de l’identité marocaine est telle que le plus souvent, c’est elle qui gagne quand il y a conflit d’identité", déclare le président du Conseil des communautés israélites du Maroc

La rencontre sur le «Judaïsme marocain a connu le vernissage d’une exposition intitulée «Réhabilitation du patrimoine culturel juif marocain : synagogues et cimetières».

"Séquence Jeunesse : Côte à côte, face à face, ensemble et séparément, comment construire l'avenir ?" a été le thème d'un panel organisé, jeudi à Marrakech, dans le cadre de la Rencontre sur le "Judaïsme marocain : pour une marocanité en partage".

La Rencontre sur le "Judaïsme marocain : Pour une marocanité en partage'', qui a clos ses travaux, jeudi soir à Marrakech, a été sanctionnée par l'adoption d'une batterie de recommandations allant dans le sens d'un appel notamment en faveur de l’approfondissement du dialogue judéo-musulman et de la promotion de l’exception marocaine en matière de vivre-ensemble.

Isaac Ohayon guide avec entrain les touristes qui affluent, toujours plus nombreux, dans la cour de la synagogue Lazama à Marrakech. «Ici, explique-t-il, vous entrez dans la dernière synagogue du Mellah», un terme qui désignait autrefois les quartiers réservés aux juifs dans les villes marocaines.

Après des années de restauration, deux cimetières où reposent des Marocains juifs ont été inaugurés mardi au Cap Vert. La cérémonie d’installation de plaques de bronze sur les tombes a eu lieu en présence de plusieurs diplomates et personnalités juives à l’île Santo Antão où se trouvent sept des douzaines de tombes juives de l’île

Le Maroc serait-il en train de vendre ses bijoux de famille? La Mamounia fait partie de la dernière charrette d’établissements publics, mais néanmoins privatisables. Sont appelés à la barre des entreprises qui n’ont pu être vendues tels le CIH bank, le complexe textile de Fès (Cotef), Charbon et bois de Casablanca (Sococharbo), entre autres. 

« L’exception marocaine » en matière de vivre-ensemble harmonieux et de dialogue entre les communautés religieuses, musulmane et juive, a été mise en avant à l’occasion d’un forum organisé, vendredi et samedi à Essaouira, dans le cadre de la 15è édition du Festival des Andalousies Atlantiques.

La ville de Debdou vit, trois jours durant, au rythme de la première édition du festival «Les Rendez-vous de l'Histoire» visant à mettre en avant le riche patrimoine historique de cette région et les valeurs de coexistence et de tolérance qui y ont toujours prévalu.

Un comportement qu’on aimerait bien voir plus souvent chez nos concitoyens, à condition de ne pas recourir à la violence, à l’instar de ces jeunes.

Le Maroc est le royaume de la stabilité avec une diversité culturelle dynamique, un mélange d'influences africaines, orientales et européennes avec berbère, héritage arabe et juif.

L’idée de cet ouvrage est née lors du lancement du séminaire pluridisciplinaire   « Géopolitique et économies du Maghreb » organisé au sein de l’iReMMO (Institut de recherche et d’études Méditerranée Moyen-Orient) à Paris par Xavier Richet et Nadji Safir.

De 1912 à 1959, le Maroc est sous deux protectorats : français et espagnol.  Le système monétaire décrit ci-dessus concerne le protectorat français, qui cessa en 1956 et représenta la plus grande partie du territoire.  Le Maroc Espagnol utilisait la monnaie espagnole.  Le protectorat espagnol cessa en 1959.

Il est là, curieux, fureteur, fidèle à lui-même. Lui,  c’est Simon Skira, né à Casablanca, en 1952 mais ayant vécu la prime enfance à Fès où il intègre l’Ecole française, l’école de l’élite. Cette ville le marquera à jamais, incarnant pour lui l’héritage spirituel, en matière de culte et de musique.

Je suis arrivé en fin d'après midi à Mirleft, traumatisé et les nerfs a fleur de peau.Tout avait bien commencé, pourtant Yanna m'avait dit : "Tu prends Supratours (autocar) jusqu'a Tiznit et après un grand taxi qui t'amènera a Mirleft ».

Aylal a déclaré que « les scientifiques dans le domaine médical, les physiciens, les philosophes, les penseurs, les juristes et tous ceux qui utilisent leur intellect pour contribuer à l’humanité… sont les nouveaux prophètes qui découvrent la révélation de Dieu dans l’univers. 

«Cette éducation de qualité doit enseigner l’Histoire à nos enfants, dans la pluralité de ses récits, évoquant les instants glorieux de l’Humanité et aussi ses moments les plus sombres. Elle doit développer leur ouverture au monde et à la diversité humaine et culturelle», a souligné le Souverain

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