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Litterature

L’auteur évoque la vie juive, la synagogue de Kénadsa, rue du lieutenant Ferrand, la préparation à la bar-mitzva , les fêtes juives, Pessah avec une immense table où se retrouvaient une quarantaine de convives, le couscous qui précède la cure d’azymes, Souccot et ses tentes, les fiançailles et les épousailles , la vie de famille au quotidien ou encore les visites au cimetière de « Moula Béchar » où sa mère, qui, par ailleurs, considérait les rouleaux de la Torah comme des poupées,  allumait des bougies dans la crypte d’un saint vénéré.

Marie Vidal, fervente catholique, admiratrice convaincue du peuple juif, s’est révélée au grand public, en 1996, avec son ouvrage précurseur « Un Juif nommé Jésus »

Les conversations imaginaires rapportées dans ce livre disent à quel point la pensée et l’action de Shimon Pérès (1923-2016) ont marqué l’histoire tout entière de la terre d’Israël, et à quel point il manque aujourd’hui à celles et ceux qui se soucient de l’avenir de ce pays qu’il a contribué à fonder.

Une fracture politique s’est creusée entre le haut (« les élites ») et le reste de la population en France ; et cette fracture commence à être sérieusement documentée.

Il y a du pied nickelé dans la vie de Jean-Pierre Kalfon, acteur générationnel des années 60, avec la bande Pierre Clémenti, Bulle Ogier, Bernadette Lafont, Jean-Pierre Léaud,  Valérie Lagrange, Brigitte Fontaine… Les idoles underground d’avant 68 !

L’universitaire israélien, auteur du best-seller "Sapiens, une brève histoire de l’humanité", est devenu un phénomène d’édition mondial.

J'ai eu vingt ans et bientôt trente,
les quarante ont suivi et aussi les cinquante,
avec quelques unités pour perturber les comptes.

La commémoration des 70 ans d’existence de l’Etat d’Israël moderne a inspiré, en France et ailleurs, de nombreux auteurs. Grand reporter et rédactrice en chef de l’hebdomadaire Marianne, Martine Gozlan a choisi comme angle d’approche sept clés qui sont autant de pistes de réflexion.

L’histoire de l’Afrique du Nord est restée un mystère depuis les temps les plus anciens. Plusieurs publications ont essayé de la retracer mais, manquant d ‘éléments probants, elles divergent considérablement. De plus, elle a plus été racontée par les conquérants que par les autochtones qui sont restés depuis des siècles sous dominations étrangères.

Cela dépendra à qui est posée la question:
Écrivain,  Dramaturge, Acteur, Poète, Critique d'arts. Auteur. Éditeur... Un Artiste

À la soirée du henné qui précède le grand jour, Aïda trône resplendissante dans son costume d'apparat, elksoua elkbira. Le costume familial dont se revêtent les futures épouses depuis plusieurs générations dans la famille d'Alain fait le tour du monde.

L’essentiel de la trame vient de la réalité, sans être fortuit. Enfant adopté par un pied-noir de Tunisie, qui s’est suicidé (L’homme qui m’aimait tout bas, 2009), il est le fils naturel d’un juif marocain qui lui a inspiré Questions à mon père (2010)

Plusieurs sujets intéressants sont abordés dans ce livre qui se penche sur la manière dont l’Israël en gestation a réussi, dès 1917, à jeter les bases d’une future armée. De la Hagana et de l’Irgoun, on passera à Tsahal, qui, jusqu’ici, domine ses adversaires grâce à une supériorité technologique.

Natif du Maroc, le psychanalyste Daniel Sibony a l’immense avantage de posséder la langue arabe comme l’hébreu. Ce qui le qualifie pleinement pour parler, en toute connaissance de cause, des deux textes fondateurs, la Bible et le Coran. L’ouvrage qu’il nous propose est composé de questions supposées posées par un interlocuteur et des réponses de l’auteur.

Daniel Cohen est professeur de Sciences économiques à l’Ecole Normale Supérieure et directeur du Centre pour la recherche économique et ses applications (CEPREMAP). Il est également membre du Conseil d’analyse économique auprès du Premier ministre et éditorialiste associé au journal Le Monde.

Alors qu'elle était à peine sortie de l'adolescence, Lina a connu un jeune étudiant en médecine, juif marocain. De cette relation est né le petit Eric, le 26 août 1960 dans une clinique de Nice. Naissance clandestine, dissimulée, voire niée par une famille bigote et rigoriste.

Aujourd’hui dans les grandes voix de la littérature africaine, Albert Memmi, juif franco-tunisien, auteur de portrait du colonisateur et portrait du colonisé, un essai constitué de deux parties publié en mai 1957.

À l'heure actuelle, tous les pays européens confrontés de façon aigüe au problème de l'islamisme voient au sein de leur parlement la présence d'un parti politique focalisé sur cette problématique. Tous les pays sauf un : le Royaume-Uni.

Bien que né à Alger, l’auteur a vécu à Médéa dans la région du plateau du Titteri où son père occupait les fonctions de payeur du Trésor. Il se souvient de son enfance, de sa mère, malade, de leurs voisins et amis, les Chemla, du notaire, Monsieur Serror, du minotier Bismuth, du boulanger Bensaïd, du ferblantier Zmirou, du coiffeur Caruso, du docteur Ben Mérabet, de ses copains, les frères Mansour, Khaled et Mohamed

Le monde est en train de devenir une tour de Babel où se bousculent les révélations religieuses, les découvertes scientifiques, les variations intellectuelles et où sévissent de stridentes dissonances entre toutes sortes de prétentions à la vérité. Les malentendus se glissent dans les concepts les plus courants, les rivalités scolastiques ou médiatiques encouragent les doctrines les plus étranges. 

Le 2 novembre 1917, la Déclaration Balfour enclenche le processus de résurgence de l’Etat moderne d’Israël. Malgré l’opposition farouche des Arabes qui auraient préféré la création d’un grand Etat arabe, Israël est proclamé le 14 mai 1948. 

Plusieurs livres ont été publiés en France à l’occasion de la célébration des 70 ans de l’Etat d’Israël. Salomon Malka, dans l’ouvrage qu’il nous propose, a choisi pour sa part d’évoquer 70 jours qui ont marqué, de manière forte les sept décennies de l’Etat des Juifs ressuscité. Ce qui ne l’empêche pas de remonter le temps jusqu’au roi David

Si je prends la parole c’est pour rendre à César ce qui lui appartient. Robert a su très vite s’imposer comme comme un des pilliers de notre judaïsme marocain en ouvrant la voie à une action mémorielle engagée. Mais il avait aussi d’autres occupations professionnelles dont il pouvait s’illustrer.

Lorsqu’il est baptisé, à l’âge de 9 ans, le 4 juin 1941, à l’église Saint-Nicolas-du Chardonnet, en même temps que ses frères Maurice et JC et que sa sœur, Anne-Marie,  Philippe Alexandre avoue qu’il y avait « un mot que je n’ai jamais prononcé à la maison, ni alors ni plus tard, c’est celui de « Juif ». 

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