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Moyen-Orient

Ces jours-ci, la télévision israélienne a présenté une série de reportages passionnants sur la montée des islamistes en Europe, et particulièrement en France.

L’Iran se réjouit de ce que les forces gouvernementales syriennes qu’il soutient se renforcent et profite du conflit actuel pour mieux établir les dizaines de milliers de miliciens chiites qu’il contrôle en Syrie même.

Le président américain Donald Trump a par le passé, et à de nombreuses reprises, "promis un bon accord afin de résoudre le conflit, puis a soudain prononcé une déclaration que nous ne pouvons accepter", a dit Abbas.

« Le désengagement n’est qu’une déclaration politique du défunt roi Hussein à un moment donné ; il ne s’agit en aucun cas d’un désengagement politique ou religieux de la cause palestinienne […] Nous n’avons pas renoncé à la souveraineté sur la Cisjordanie. »

L’opération ciblant le leader de l'OLP était censée avoir lieu en 1982 mais a été avortée après que les services de sécurité israéliens ont réalisé que ce n'était pas le dirigeant palestinien qui était pas à bord de l'avion visé, mais son petit frère Fathi Arafat

Pour les Palestiniens, la décision du président américain de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël a discrédité Washington dans le rôle de médiateur.

On assiste assurément à un élargissement majeur du conflit, car je n’imagine pas que les Forces Démocratiques Syriennes et les militaires américains présents à Manbij et dans le reste du Rojava oriental pourraient subir ces attaques sans réagir.

Saeb Erekat a jugé que la reconnaissance de Jérusalem était un « cadeau aux extrémistes » et que l’Amérique faisait davantage « partie du problème que de la solution ».

Se trouvant dans une situation difficile en raison de la crise en cours avec les quatre pays qui le boycottent – à savoir l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l’Egypte – crise qui n’a pas été sans causer de dommages, le Qatar a tenté de mobiliser une aide extérieure. 

Jérusalem est la capitale d'Israël et, en tant que telle, le président Trump a donné pour instruction au département d'Etat d'entamer les préparatifs du déplacement de notre ambassade de Tel Aviv à Jérusalem

En cette seconde journée de l’offensive turque baptisée "Rameau d’olivier", l’Armée ottomane assistée par ses supplétifs islamistes a lancé une offensive terrestre majeure à partir de la ville de Gülbaba [carte], appuyée par l’aviation, l’artillerie et des blindés.

Si la nature des régimes et leur poids géopolitique diffèrent, ils doivent affronter un même défi : la colère de leur population, et en particulier de leur jeunesse, confrontée à des conditions de vie toujours plus dures.

Eh bien oui, contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est le gouvernement israélien qui veut voir les financements américains se poursuivre en faveur de l'UNRWA, car il craint que l'arrêt de cette aide provoque une nouvelle intifada, l'implosion de l'Autorité palestinienne ou encore une nouvelle guerre avec le Hamas.

Sept ans après le déclenchement du soulèvement populaire qui marqua le début des Printemps Arabes, la Tunisie est de nouveau le théâtre d’importantes manifestations.

Israël a développé une technologie unique capable de localiser les tunnels stratégiques (d’infiltration et d’attaque) construits pas le Hamas à Gaza et aboutissant en Israël et en Egypte. La destruction d’un réseau souterrain majeur par Tsahal dimanche dernier, le quatrième en quelques mois, le démontre.

Dans un vote intervenu à Ramallah, le conseil central de l'OLP a "chargé le comité exécutif de l'OLP suspendre la reconnaissance d'Israël jusqu'à ce que ce dernier reconnaisse l'Etat de Palestine dans ses frontières de 1967,  annule l'annexion de Jérusalem-Est et cesse ses activités de colonisation", selon un communiqué.

L'annonce a été faite lundi après que le gouvernement ait reconnu devant la cour suprême qu'il n'avait pas mis complètement en application une décision du cabinet de sécurité qui incluait des sanctions ciblant les leaders du Hamas.

Al-Quds, le nom donne par les Arabes a Jerusalem vient du mot Beit-El-Muqadas qui n'est autre que le mot Beit-Hamiqdash qui designe le Temple en hebreu

Cette mise en garde française serait fondée sur le fait que les dirigeants américains, saoudiens et israéliens soutiendraient les manifestations en Iran, et que les mots prononcés par les dirigeants de ces 3 pays peuvent mener à la guerre. 

Le Yémen risque de couver une nouvelle génération d’extrémistes qui s’en prendra tant aux belligérants qu’aux pays qui les soutiennent. Près de 3 millions de Yéménites ont été déplacés et près de 18 millions souffrent d’insécurité alimentaire.

Quelles sont les raisons de la colère en Iran ? Premier motif de mécontentement, la vie chère. L'inflation est d'environ 12% par an. Comme l'explique Azadeh Kian, professeure de sociologie à Paris-Diderot et spécialiste de l'Iran

95 milliards de dollars: le chiffre a de quoi donner le tournis: mais, selon l'agence Reuters, l'ayatollah iranien Ali Khamenei règne bien sur un vaste empire économique représentant une somme aussi impressionnante. Cela équivaut à environ 71 milliards d'euros, soit davantage que la valeur actuelle des revenus pétroliers annuels d'Iran.

En tirant les leçons de leurs erreurs et en s'attaquant aux défauts majeurs du système, les dirigeants ont permis à Dubaï de faire un retour en force et de rendre l'émirat plus grand, plus fier et plus arrogant que jamais. 

Les analystes stratégiques distinguent trois formes de menaces extérieures pesant sur l’Etat d’Israël. Celle du premier type, existentielle, émanant d’armées régulières d’Etats hostiles, alignant en permanence des millions de soldats, des milliers de chars, des centaines d’avions et/ou des armes éprouvées de destruction massive. 

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