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Moyen-Orient

l s'agit d'un cataclysme dont les deux grandes implications pour le monde extérieur sont la victoire des talibans et la défaite américaine. Contrairement à ce qu'on s'imagine, le triomphe des talibans fait du tort à l'islamisme et même à l'islam car les talibans incarnent un tel extrémisme que leur succès repousse beaucoup plus de musulmans qu'il n'en attire.

Il y a deux ans, une révolution mettait fin à trois décennies de dictature islamiste au Soudan. Désormais, sa capitale renaît et ses habitants redécouvrent des libertés et le mélange des cultures. À l’image d’un petit cimetière juif.

Le 4 août, le ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, a déclaré que « l'Iran a violé toutes les directives définies dans le PAGC et n'est plus qu'à environ 10 semaines de l'acquisition des matériaux de qualité militaire nécessaires à la production de l'arme nucléaire. » Sommes-nous finalement aux portes d'une crise ?

Un porte-parole des talibans a déclaré mardi au journal israélien Kan News que la milice islamiste respecterait les droits des minorités en Afghanistan, y compris ceux du dernier Juif du pays.

Pour le journaliste Ehoud Yaari, spécialiste du Moyen-Orient, les signes se multiplient qui indiquent que l’Iran, sous la direction du nouveau président Ebrahim Raïssi, ne souhaite plus revenir à un accord recyclé sure le modèle de celui signé à Vienne en 2015.

En tant qu'historien, j'ai le regret de signaler que les conflits ne se terminent généralement pas par des gestes de bonne volonté mais par l'abandon des objectifs de guerre de la part d'un des deux camps.

Toutes les lignes ont été franchies, une nouvelle guerre a commencé»: ce constat inquiétant a été dressé par le général Ygal Unna. Le directeur général du cyberdirectorat national d’Israël est bien placé pour le savoir. Son rôle est précisément de mener un combat à l’arme informatique contre le programme nucléaire iranien et d’établir une muraille défensive pour mettre en échec les attaques iraniennes sur ce même front.

Aujourd'hui encore, le monde arabe n'accepte pas le concept d'un Etat juif, quelle que soit sa forme ou sa taille. Même l'Egypte et la Jordanie, qui ont signé des accords de paix avec Israël, ne reconnaissent pas ce pays en tant qu'Etat juif, et continuent de vouer à ses habitants une haine antisémite.

Les premiers événements contribuant à l’émancipation politique des pays arabes se sont déclenchés en Algérie en octobre 1988. Ils annoncent pourtant un funeste destin à l’ancienne colonie française, plongée, deux ans plus tard, dans une guerre civile sanglante opposant les militaires aux islamistes. Ces derniers, rassemblés pour partie au sein du Front islamique du salut (fis), tirent dès l’automne 1988 la part belle des émeutes

Le judoka algérien Fethi Nourine (-73 kg), qualifié pour les Jeux Olympiques de Tokyo, a décidé de ne pas participer à la compétition afin d'éviter tout affrontement potentiel avec un judoka israélien, ont rapporté les médias israéliens.

C'est ce qu'écrivait Samar (l'Arabe de Haïfa): Nous ne sommes pas des Arabes israéliens ... Nous sommes des Palestiniens citoyens de l’État d’Israël.  Et notre citoyenneté est une chose technique qui comprend un passeport israélien et une carte d'identité que nous présentons à la demande des institutions requérantes.

Bien des observateurs sont déroutés par la personnalité et les agissements du président turc Erdogan dont les contorsions ont de quoi étourdir ou donner le vertige. Il a pu être présenté comme une personne dont les choix sont déterminés et qui semble mener la danse, mais cette interprétation ne tient pas la route. Il semble bien que son passé de footballeur contribue à mieux le déchiffrer.

Le Coran comprend plusieurs passages relatifs au « jihad », incitant à la guerre, contre les polythéistes de l'Arabie ou les incroyants, notamment 5 versets dans les sourates 8/9/47 ; le verset le plus court est le verset 5 de la sourate 9: « [...] Tuez les incroyants où que vous les trouviez [...].

Avant de commencer à parler de ce sujet qui fâche, je veux rappeler des choses simples: à mes yeux, et ux yeux de la science, un arabe, un juif, un indien, ou un centrafricain ont strictement le même ADN. Nous sommes nés pareil, avec tous la même chance en théorie d'être des gens bien ou moins bien, sympa ou lourds, radins ou généreux, intelligent ou moins intelligent.

Hassan Nasrallah, qui n’a jamais dit autre chose et qui n’est pas le seul à penser ainsi, résume de façon glaçante, en quelques mots prononcés le 5 juillet, ce qui interdit de rêver à la paix: le rejet catégorique d’un état israélien, que ce soit sur les lignes de la guerre des Six Jours, sur la ligne verte de 1949, sur les lignes du plan de partage de 1947, ou sur celles de la Commission Peel de 1937. L’ "entité" israélienne, ce n’est rien. Nada.

Comment une civilisation aussi sophistiquée que l’Iran peut-elle endurer le clergé moyenâgeux qui prétend agir en son nom ? La fenêtre d’opportunité qui veut renouer les Iraniens avec l’Occident est claquée par un clergé arrogant qui prône la martyrologie au détriment du bien-être de ses citoyens.

En Iran, pays aux mains d'un régime islamiste depuis 1979, un phénomène étonnant sur le plan religieux est en train de se produire à savoir, l'épanouissement du christianisme, un phénomène dont l'impact pourrait être considérable.

En janvier 1991, à la veille de la guerre du Koweït, le chef de la diplomatie de Saddam Hussein, Tarek Aziz, rencontra le Secrétaire d'État américain, James Baker, et lui tint des propos significatifs. Selon la transcription d'un document irakien, il déclara : « Il n'est jamais arrivé qu'un régime politique [arabe] entre en guerre avec Israël ou les États-Unis et subisse une défaite politique.

On peut dire que l’élection à la Présidence iranienne de Ebrahim Raïssi a été téléguidée, tellement son mentor, le Guide Suprême Ali Khamenei y a joué un rôle majeur. L’homme, qui porte le turban noir ides descendants du prophète a des compétences religieuses incertaines. Il a exercé le métier de juge et est accusé de crimes contre l’humanité.

Les attentes qui étaient les miennes concernaient principalement l'objectivité du chercheur. On ne s'attend pas à trouver un tract musulman chiite plein de dévotion. C'est pourtant ce qui caractérise l'ouvrage intitulé The Prophet's Heir [L'Héritier du prophète], une apologie de la figure clé du chiisme, l'un des personnages les plus importants de l'histoire islamique et le cousin et gendre de Mahomet, le prophète de l'Islam.

Le 8 mai 2019, l'Iran publiait une déclaration selon laquelle il cessait d'appliquer, à compter de cette date, certaines mesures prises au titre de l'accord PAGC (Plan d'Action Global Commun) du 14 juillet 2015, traduction en français de l'acronyme JCPoA (Joint Comprehensive Plan of Action ). Lequel accord était censé contrôler le programme nucléaire iranien en échange d'une levée des sanctions économiques appliquées à l'Iran.

Le Hamas clame à qui veut l’entendre qu’il a « gagné » la guerre contre Israël, suscitant en retour lazzis et moqueries. Une grande partie du monde arabe est consciente que le seul intérêt du Hamas est de plaire aux mollahs afin de leur soutirer toujours plus d’argent et d’armes.

Selon une enquête d'opinion israélienne, les Israéliens font preuve d'une attitude ambivalente : ils veulent remporter la victoire sur le Hamas mais ne désirent pas en payer le prix. Ce résultat souligne la nécessité d'un leadership intellectuel et politique capable d'éduquer la population sur cette question complexe.

Les photos d'un tunnel creusé par le groupe terroriste Hamas sous une école de Gaza, gérée par l'UNWRA, l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens, ont été publiées jeudi par la chaîne de télévision israélienne Kan .

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