Share |

Canada

Le casse-croûte Wilensky’s, dans le Mile-End, souffle sa 80e bougie. Installé à l’angle des rues Fairmount et Clark, ce lieu de rassemblement de la communauté juive montréalaise n’a pas changé depuis sa fondation, en 1932.

L’animateur s’était plaint que la communauté juive impose ses valeurs à la société québécoise à la suite de l’inscription du Rosh Hashanah et du Yom Kippour sur la liste des jours fériés. Le conseil municipal avait pris cette décision pour tenir compte du fait que les juifs représentent 83% de la population de Hampstead.

Est-ce parce qu'il est un bleu-blanc-rouge juif sépharade d'origine marocaine, une communauté bien présente au Québec? La façon dont Arthur raconte ses histoires et parle au public nous ressemble et a ce même parfum universel que véhicule notre métropole multicolore.

Lors d'une rencontre organisée conjointement par la Communauté sépharade unifiée du Québec, la Congrégation Or Hahayim et le Think tank Mémoires et dialogue, Khrouz a appelé les membres de la communauté juive marocaine à «montrer que nous sommes porteurs d'une histoire commune, en la reconnectant avec son contexte».

«En choisissant de célébrer le cinquantenaire des relations maroco-canadiennes, dans la perspective de 2000 ans de vie juive au Maroc, c'est la modernité, l'universalité et la richesse de toutes nos histoires additionnées que vous avez le talent de mettre au cœur du débat au centre du continent américain», a souligné Azoulay

Lors d'une soirée de Gala, organisée mardi à Toronto, dans le cadre des festivités du cinquantenaire des relations maroco-canadiennes, sous le slogan "2000 ans de vie juive au Maroc", M. André Azoulay, conseiller du Roi et président de la Fondation Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures, a affirmé que "ce soir à Toronto, le judaïsme marocain signe une nouvelle page de son histoire

La présence du judaïsme au Maroc remonte à 2000 ans. A travers une exposition de l’art judéo-marocain et de reliques étalée sur plusieurs jours à Toronto dans l’Ontario, la communauté marocaine de confession juive forte de 18 000 personnes, revisite son histoire et la partage.

Situé sur la «Main», le boulevard Saint-Laurent, qui fut l’ancien quartier de la communauté juive de Montréal, Schwartz représente en effet une sorte de monument historique de la communauté juive anglophone. Il a inspiré au cours des dernières années plusieurs articles, des ouvrages, un film et une comédie musicale.

Si vous croyez que j'ai le temps d'aller voir un film qui dure quatre heures et demie !» Voilà ce que répondait un des protagonistes du Chagrin et la pitié au moment de sa sortie en salle, en 1970. Il faut dire que ce paysan auvergnat en avait connu d'autres. Il vivait pas loin de celui qui l'avait dénoncé aux autorités durant la guerre.

Les juifs marocains demeurent attachés à leur identité, leurs racines, leur culture et leurs traditions marocaines, telles que transmises de génération en génération, ont-ils rappelé lors de cet événement qui s'inscrit dans le cadre d'une série de rencontres "Pré-Festival Sépharade 2011" de Montréal, affirmant qu'aujourd'hui quelque 3000 juifs vivent au Maroc "attachés à leur identité culturelle et cultuelle".

Dans le cadre d’un entretien à Radio Ville-Marie, à l’occasion de la parution de «Bienvenue chez Monsieur B. !» (L'Harmattan, Paris), M. Aziz Fares m'a donné l'occasion de répondre à plusieurs questions touchant le contexte de mon dernier roman ainsi que la place qu'occupent dans notre société, les milieux officiels. Qu'ils soient juifs, musulmans ou autres.

En prévision du prochain référendum relatif au projet de réforme constitutionnelle, l'Ambassade et le Consulat ont mis à la disposition des ressortissants marocains, y compris ceux ayant la citoyenneté canadienne, deux bureaux de vote qui seront ouverts les 1er et 2 juillet aux locaux de l'Ambassade à Ottawa et du Consulat à Montréal.

Il est si rare de voir un chef de gouvernement prendre des positions de principe qu'il faut reconnaître au premier ministre Harper un singulier courage dans l'appui indéfectible qu'il manifeste à Israël.

Depuis quatre mois, un regroupement d'illuminés appelé le PAJU harcèle un commerçant montréalais parce qu'il vend quelques paires de souliers fabriqués en Israël. Il est donc pour eux un rouage du complot sioniste et un instrument du «lobby juif».

Contenu Correspondant